Notre pèlerinage du 19 au 23 septembre 2017
sous la présidence de Mgr Fonlupt, évêque de Rodez
“ NE VOUS LAISSEZ PAS VOLER L’ESPÉRANCE ”
🔵 Vous avez dans ce “ MESSAGE d’Avril ” LE DOSSIER D’INSCRIPTION CI-JOINT !
• Lisez attentivement la feuille INFORMATIONS et retournez-nous les pièces demandées accompagnées de votre 1er règlement. Il ne sera pas accusé réception de ce dossier.
Votre facture des frais hôteliers vous sera envoyée vers le 20 Août. En cas de désistement avant le 10 septembre vous serez remboursé des frais engagés.
• Pour vous inscrire vous devez être à jour de votre adhésion 2017 à LCE75 : 20€ par personne.
• Vous organiserez votre transport Aller/retour individuellement.
Nous assurons le transfert Gare- Hôtel et Gare-accueil Notre Dame pour les TGV arrivant de Paris le mardi 19 septembre. A ce jour les horaires SNCF ne sont pas disponibles.
• Nous rappelons aux personnes qui souhaitent arriver la veille du mardi 19 septembre après midi qu’elles doivent prendre contact directement avec l’hôtel.
🔹 Les inscriptions seront closes le 30 juin, à l’exception des nouveaux malades qui se feraient connaître pendant l’été.
• Le mardi 19 septembre nous arrivons en ordre dispersé, au gré des horaires de la SNCF, des avions ou des voitures. Nous sommes accueillis à la fois par le personnel de l’hôtel et par LCE qui nous attribuent nos chambres pour que nous puissions nous installer et nous reposer.
• Dans un deuxième temps, nous recevrons les documents, foulards ( pour les nouveaux) et bagues, badges et abécédaire de notre délégation, qui nous permettront de nous repérer pendant ces 4 jours.
• Puis les nouveaux de cette année se réuniront pour que leur soient présentés l’équipe d’animation, notre médecin : Monique Gobert, ainsi que leurs “ anges gardiens ”.
• Qui sont “ les anges gardiens ” ? Nous souhaitons que chaque nouveau participant au pèlerinage soit confié à un pèlerin plus ancien en vue de répondre à ses questions pratiques et lui montrer certains lieux un peu difficiles à repérer.
Attention cela ne change en rien l’affectation de votre chambre si vous nous avez signalé la personne avec qui vous souhaitez la partager !
• Nous nous retrouverons alors tous pour un dîner rapide nous permettant de partir groupés jusqu’à la basilique souterraine pour notre célébration d’ouverture.
“ Syméon comme un homme juste attendait la Consolation d’Israël. La Consolation, a Dieu comme auteur. C’est Dieu qui va consoler son Peuple. « Consolez, consolez mon peuple, dit votre Dieu, parlez au cœur de Jérusalem et criez-lui que son service est accompli, que sa faute est expiée » (Is. 40, 1-2)
La consolation est un véritable message d’espérance qui transforme la vie. Dieu annonce sa venue, sa présence, son amour. Il n’abandonne pas l’homme. Il ne permettra pas que celui-ci désespère, se décourage, perde cœur, laisse tout tomber et aille voir ailleurs. Cet amour, que Dieu manifeste, permet à l’homme de pousser un profond soupir de soulagement, de reprendre souffle. Il est force et réconfort. Parler de Consolation revient à dire que Dieu n’abandonne pas son peuple, qu’il est fidèle et qu’il se laisse toucher par tous les affligés. Oui, Dieu est bien le Consolateur des affligés.
C’est ce visage d’un Dieu Consolateur que vient révéler Jésus à travers sa personne. (Lc 4, 18-21). Jésus vient annoncer cette Bonne Nouvelle d’un amour de Dieu qui rejoint l’homme et tout particulièrement les pauvres, les malades, les pécheurs, les affligés.
Par son Magnificat, Marie chante cette Consolation de Dieu. Elle est le témoin, et la servante, de la Consolation de Dieu, même dans les situations humaines où tout semble démentir cette proximité de Dieu. La foi et la tendresse de Marie nous conduisent à son Fils et nous découvrent toute l’amplitude de sa miséricorde, cette miséricorde qui est d’ailleurs le pur reflet des entrailles de miséricorde du Père.
Laissons-nous accueillir par Marie et conduire par elle jusqu’aux profondeurs du cœur de Dieu.”
* Extraits de l’homélie du cardinal RICARD, archevêque de Bordeaux. 2/02/2013
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« Bien souvent, dans notre vie, les larmes sèment l’espérance », …/…
« Pour parler d’espérance à celui qui est désespéré,
il faut partager son désespoir,
pour essuyer une larme du visage de celui qui souffre,
il faut unir nos pleurs aux siens.
C’est seulement ainsi que nos paroles peuvent être réellement capables de donner un peu d’espérance.
Et si je ne peux dire ce genre de paroles, avec les pleurs, avec la douleur, mieux vaut le silence ;
la caresse, le geste mais pas de parole ».
Audience générale du pape François, le 4 janvier 2017.